En 2020, le début de la pandémie de Covid-19 a engendré une année incroyablement difficile pour les marchés. Les blocages et les incertitudes sociétales qui ont suivi ont augmenté les niveaux de volatilité dans la plupart des grandes classes d’actifs.
Sans être à l’abri des effets de la Covid-19, la dette d’infrastructure s’est révélée être une classe d’actifs résiliente en continuant à générer des revenus stables tout au long de l’année. Des secteurs clés comme les télécommunications et les services publics ont encapsulé cette résilience de par la nature essentielle des services fournis.
Cette résilience et cette stabilité éprouvées placent la dette infrastructure comme la solution d’investissement idéale dans un environnement post-Covid. De plus, la demande croissante et le passage séculaire aux énergies renouvelables alors que les pays adoptent la transition énergétique, en parallèle avec la numérisation, représentent un moteur important pour la classe d’actifs. Pour les investisseurs à la recherche de revenus stables avec une volatilité contenue, la dette infrastructure peut être une solution convaincante pour 2021 et au-delà.
Dans son nouveau livre blanc, intitulé Dette d’infrastructure européenne: résislience et essentielle dans l’environnement post-Covid, Karen Azoulay, responsable de la dette d’infrastructure et gérante principale des fonds BNP Paribas European Infra Debt Fund II et BNP Paribas European Junior Infra Debt Fund I, un fonds de développement durable récompensé par plusieurs distinctions.
Lire Dette d’infrastructure européenne: résislience et essentielle dans l’environnement post-Covid pour savoir comment les grandes tendances séculaires telles que la numérisation et la transition énergétique créent des opportunités d’investissement intéressantes dans la dette d’infrastructure européenne.
